Un dimanche triste à pleurer

J'ai tellement à faire chez moi et je suis coincée ici encore jusqu'à demain matin.

Les we de garde sont une réelle sinécure !

Après 3 nuits et 2 jours 1/4 dans les locaux, le lundi matin tu sens le moisi quand tu rentres chez toi.
T'as à peine vu la couleur du ciel, tu t'es emmerdé comme un rat crevé, t'as eu des conversations de poulpe la majeure partie du temps...

De toute façon c'est bientôt terminé pour moi. J'arrête le 14/12 prochain au matin.
Ma situation personnelle ne me permet plus d'avoir ce planning à la mord moi le noeud quand c'est ma semaine de garde.
Être obligée de demander à quelqu'un de rester avec mes petits la nuit ou de me les garder les we devient insupportable pour tout le monde.

Et puis j'ai d'autres projets ô combien plus intéressants.
Je sais que je vais passer par une période difficile financièrement mais puisque j'en suis à tout reprendre de zéro alors autant redémarrer depuis le début avec la lettre A.
"A" comme "Allez, lance toi ! Avance et tu y Arriveras !"

J'ai même la chance d'avoir discuter avec une dame que j'apprécie beaucoup et qui accepte d'être mon "cobaye" pour ma première biographie.
En fait c'est elle qui me l'a demandé spontanément.

Encore beaucoup de travail en perspective pour arriver à mes fins mais ça en vaut la peine.

Je sais bien que je suis la seule à y croire, que je suis la seule à m'encourager. Même si c'est loin d'être tous les jours faciles je sais que j'en ressortirai plus fière encore et je ne le devrai à personne d'autre que moi.